Encore un tout grand
merci à Lecteurs.com pour m’avoir sélectionnée dans le cadre de l’opération
« Explorateur du Polar » lors du dernier «Quai du polar » ainsi
que l’éditeur, Hugo Thriller. J’ai ainsi eu la chance de recevoir deux livres à
chroniquer (le premier était « Le mal en soi » d’Antonio Lanzetta
dont la chronique est déjà disponible sur le blog).
> Quatrième de
couverture <
Cassandra est mariée
depuis un an avec Matthew, et leur bonheur semble sans nuages.
Jusqu'à ce qu'un orage, un soir, pousse Cass à emprunter une route qu'elle n'aurait jamais dû prendre, à travers la forêt.
Trop isolée, trop sombre, trop dangereuse.
Tellement dangereuse, d'ailleurs, que lorsqu'elle dépasse une voiture arrêtée sur le bord de la chaussée, Cass choisit de ne pas s'arrêter pour proposer son aide à la femme qui se trouve à l'intérieur.
Mais lorsqu'elle apprend, le lendemain, que la femme a été retrouvée sauvagement assassinée, Cass est assaillie par la culpabilité.
Et les coups de fil anonymes qu'elle reçoit désormais chez elle transforment ses angoisses en terreur.
Elle en est persuadée : quelqu'un l'a vue, ce soir là. Quelqu'un qui continue de l'observer. Quelqu'un qui pourrait bien être l'assassin.
Pourtant ni Matthew, ni Rachel, sa meilleure amie, ne prennent ses craintes au sérieux.
Et Cass elle-même commence à douter : comment être sûre de quoi que ce soit alors qu'elle perd chaque jour un peu plus la mémoire, oubliant le code de l'alarme, sa place de parking, ce landau qu'elle a commandé même si elle n'a pas d'enfants, et ce que peut bien faire dans sa cuisine ce couteau ensanglanté qu'elle ne reconnaît pas.
Après avoir connu un immense succès international avec « Derrière les portes » (près d'un million d'exemplaires au Royaume-Uni, 37 traductions), B.A. Paris récidive avec son deuxième thriller, « Défaillances », qui s'est propulsé en tête des ventes en Angleterre comme aux États-Unis, où elle est désormais considérée comme une star du Thriller psychologique.
Jusqu'à ce qu'un orage, un soir, pousse Cass à emprunter une route qu'elle n'aurait jamais dû prendre, à travers la forêt.
Trop isolée, trop sombre, trop dangereuse.
Tellement dangereuse, d'ailleurs, que lorsqu'elle dépasse une voiture arrêtée sur le bord de la chaussée, Cass choisit de ne pas s'arrêter pour proposer son aide à la femme qui se trouve à l'intérieur.
Mais lorsqu'elle apprend, le lendemain, que la femme a été retrouvée sauvagement assassinée, Cass est assaillie par la culpabilité.
Et les coups de fil anonymes qu'elle reçoit désormais chez elle transforment ses angoisses en terreur.
Elle en est persuadée : quelqu'un l'a vue, ce soir là. Quelqu'un qui continue de l'observer. Quelqu'un qui pourrait bien être l'assassin.
Pourtant ni Matthew, ni Rachel, sa meilleure amie, ne prennent ses craintes au sérieux.
Et Cass elle-même commence à douter : comment être sûre de quoi que ce soit alors qu'elle perd chaque jour un peu plus la mémoire, oubliant le code de l'alarme, sa place de parking, ce landau qu'elle a commandé même si elle n'a pas d'enfants, et ce que peut bien faire dans sa cuisine ce couteau ensanglanté qu'elle ne reconnaît pas.
Après avoir connu un immense succès international avec « Derrière les portes » (près d'un million d'exemplaires au Royaume-Uni, 37 traductions), B.A. Paris récidive avec son deuxième thriller, « Défaillances », qui s'est propulsé en tête des ventes en Angleterre comme aux États-Unis, où elle est désormais considérée comme une star du Thriller psychologique.
- Spécificités -
* Editions : Hugo et Compagnie (Hugo Thriller)
* Paru le 4/01/2018
* Nombre de pages : 400
J’avais découvert la plume de l’auteure B.A. Paris par son
premier ouvrage, « Derrière les portes » qui m’avait assez bien
scotchée de par le fait qu’elle avait réussi à éprouver des sentiments
contradictoires envers l’héroïne principale. Et bien ici, sa voie semble toute
tracée pour en faire l’une spécialiste du thriller psychologique.
Alors que Cassandra rentre d’une soirée avec des collègues,
elle emprunte un raccourci passant par les bois et qui l’amène à croiser la
voiture d’une jeune femme semblant être en panne. Pourtant, elle décide de ne
pas s’arrêter et le lendemain, elle apprend par les médias que la jeune femme a
été assassinée dans sa voiture. C’est à partir de cet évènement que sa vie
bascule dans la culpabilité et la dépression. Alors qu’elle reçoit des coups de
fils anonymes et qu’elle se sent observée, Cassandra se demande si l’assassin n'est pas dorénavant pas à sa poursuite.
Mais comment vivre avec cette peur et sa culpabilité lorsque même son époux,
Matthew et sa meilleure ami, Rachel semblent douter de son équilibre mental.
Il est vrai que j’ai ressenti à la moitié du livre un peu
de frustration en me disant que j’avais sûrement découvert le fin mot de
l’histoire. Pourtant, l’auteure a le don de vous retourner la situation d’une
manière assez spéciale pour que le lecteur en soit tout chamboulé et que ses
certitudes ne soient pas ce qu’elles donnaient l’impression d’être. Il faut
vraiment attendre la toute dernière page pour que le déroulé de l’intrigue
prenne enfin tout son sens.
L’auteure mise beaucoup sur le panel de la psychologie des
personnages (la folie, la jalousie, les angoisses, …) et ce n’est pas pour rien
que beaucoup la désigne comme l’une des reines du genre «thriller psychologique». Comme dans son premier livre, j’ai
été parfois agacée par l’ingénuité de Cassandra, la principale héroïne mais en
même temps, j’ai vraiment eu du mal à me décoller de sa lecture une fois commencée.
J’aime l’écriture de B.A. Paris car elle se lit facilement,
sans des tournures de phrases à n’en plus finir. Les chapitres sont courts, ce
qui fait qu’on poursuit toujours la lecture un peu plus, ne voyant plus le
temps passer et nous obligeant peut-être à veiller tard. Ce n’est peut-être pas
le meilleur thriller de tous les temps avec l’idée la plus originale qui soit
non plus, mais il m’a fait vraiment me déconnecter du quotidien et passer un
bon moment d’évasion, pressée
que j’étais de tourner les pages. Parfois, on ne demande pas plus à un livre et
ce fut mon cas pour celui-ci dans lequel je me suis finalement laissée
facilement embarquée sans même m’en rendre compte.
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