> Quatrième de couverture <
Pour avoir jeté à la mer le promoteur immobilier Antoine Lazenec, Martial
Kermeur vient d'être arrêté par la police. Au juge devant lequel il a été
déféré, il retrace le cours des événements qui l'ont mené là : son divorce, la
garde de son fils Erwan, son licenciement et puis surtout, les miroitants
projets de Lazenec. Il faut dire que la tentation est grande d'investir toute
sa prime de licenciement dans un bel appartement avec vue sur la mer.
Encore faut-il qu'il soit construit.
Encore faut-il qu'il soit construit.
Prix RTL-LIRE 2017
Le lecteur se
retrouve plongé dans un
huit-clos entre deux hommes que tout oppose : Kremeur, ruiné à la suite de l’arnaque immobilière de
Lazenec et un juge qui doit l’entendre suite au meurtre commis. On revient petit à petit sur
la genèse qui a mené à ce drame. Il est facile de s’attacher au personnage
principal, paumé par de
nombreuses « tuiles » survenues
dans sa vie.
En tant que
juriste, le titre me parlait et cela faisait un petit temps que je voulais lire
ce livre, assez court
(174 pages) mais suffisant. Dans l’ensemble, j’ai apprécié ce livre par son
aspect très réaliste d'une
histoire somme toute banale qui peut arriver à n’importe qui. Toutefois, je n’ai pas vraiment aimé le style
d’écriture car les phrases sont très (trop) longues à mon goût. A côté de ça, l’auteur m’a donné envie
de découvrir sa ville natale de Brest de par ses descriptions.
Malgré les
nombreuses critiques élogieuses récoltées
par ce roman, il n’est pas un de mes coups de cœur de 2017.
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