Merci aux éditions
Presses de la Cité (et plus particulièrement, à Wendy ;) pour leur
confiance.
> Quatrième de
couverture <
Un garçon et une fille, en couple, roulent dans la campagne
pour rejoindre une ferme isolée. Là-bas, la jeune femme devra faire
connaissance avec la famille de son petit ami. Seulement, sur la route, la
conviction qu’elle devra bientôt interrompre sa relation avec Jack vient
perturber sa quiétude. D’autant qu’elle est harcelée par des coups de fil
provenant… de son propre numéro.
Chez les parents du jeune homme, l’ambiance est lugubre et la
maison, glaciale. À table, la mère se plaint d’entendre des voix. Dans la cave,
la jeune fille découvre des peintures inquiétantes. Elle insiste pour que Jack
et elle repartent aussitôt après le repas.
De retour dans la voiture, la neige a commencé à tomber et
l’ambiance a viré à l’angoissant. Les deux amants finissent enfermés dans une
école abandonnée au bord de la route…
- Spécificités -
* Editions : Presses de la Cité
* Paru le 12/04/2018
* Nombre de pages : 208
Après avoir lu un livre mais avant d’en rédiger sa
chronique, j’aime parcourir des blogs et des sites du style de Babelio afin de
comparer ce que j’ai pensé de ma lecture avec celle d’autres lecteurs. Pour ce
thriller, les avis sont vraiment partagés et j’ai l’impression que soit on
l’adore, soit on ne l’aime pas. Alors que je l’ai terminé déjà depuis mardi, je
suis toujours en train de me questionner : qu’ai-je pensé de ce
livre ? Et à vrai dire, je suis toujours dans le flou et me demande si je
ne vais pas le rester quasi définitivement.
Dès que je suis tombée sur la quatrième de couverture, j’ai
vraiment eu envie de le lire car je me suis dit que c’était le genre de
thriller à me faire frissonner comme je les aime. Eh bien, cela a été ma
première erreur. Il est vrai que Iain Reid, l’auteur parvient à faire monter la
tension lors de certains passages mais ils sont, selon moi, trop peu nombreux à
l’inverse d’autres que tirés en longueur. Les questionnements du départ sont
longs et j’ai dû attendre plus d’un tiers, voire la moitié du livre avant qu’il
ne se passe quelque chose.
Le trajet aller m’a semblé sans fin, surtout au vu des
dialogues assez étranges, pour ne pas dire impénétrables. L’environnement chez
les parents est glauque au possible et là, je me suis dit : c’est parti,
on rentre dans le vif du sujet. On passe alors un tiers du roman dans une ambiance
pesante jusqu’à plus tard, dans l’école.
Toutefois, la sauce n’a pas totalement pris (si je puis
dire) chez moi et le final m’a encore plus laissé dans l’expectative. Ce fut
donc pour moi une lecture en demi-teinte malgré les qualités indéniables dont
fait preuve ce livre. Je l’ai plutôt savouré mais j’ai vraiment dû passer à
côté il me semble. Une seconde lecture sera peut-être nécessaire mais je
préfère d’abord laisser passer un peu de temps. Suite au prochain
épisode…
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